Notes au témoin J
1. "Precisamente porque las lenguas vulgares eran más fáciles de comprender que el latín, los copistas no sentían la necesidad de ayudar allector delimitando las palabras con unos espacios imperceptibles ai oído. Como consecuencia de ello, la definición gráfica de la palabra vernácula, especialmente en el caso de las preposiciones y los artículos, siguió siendo más ambigua que en latín, donde el artículo, tomado del francés, siempre había sido tratado en el norte de Europa como una unidad gráfica separada." [ 1998: 246].
2. Un indice intéressant: est-ce que le copiste a tourné une page de trop de son manuscrit source? Il faudrait trouver ici un autre témoin dont un feuillet (au verso donc) commence par "así pintada de armas" ; un saut du même au même me semble moins probable. Pour l'instant, ni U ni G ne correspondent.
3. Penser à une étude sur le vocabulaire: pourquoi "çibdadanos" ?
4. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, cette dernière phrase n'est pas l'amorce de la glose (l'expression est relevée par [ 2009] comme marqueur de la distinction traduciton/glose), mais correspond à la fin de la traduction, et correspond effectivement au texte latin.
5. Moïse en chef de guerre ?
6. La traduction du titre diverge par rapport au texte source ici: Qui sunt meliores bellatores, an vrbani & nobiles, vel agricolae & rurales [ 1607: 566]. Une erreur de traduction ?
7. Pas de calderón pour marquer la séparation entre glose et traduction ici !
8. Pour ce manuscrit, le signe tironien est exactement le même que le [r] rotunda. Voir l'image.
9. Deux points sont ajoutés sous le verbe. . De toute évidence, le "es" est de trop ici.
10. "Miles namque sicut laboris ita honoris nomen est. [ : VI, 8, 600a, t2, 23]" .
11. Un [n] avec un point suscrit et un point souscrit.
12. "In libro Officiorum Marcus Tulius refert quod Pompilius imperator tenebat prouinciam in cuius exercitu filius Catonis tiro militabat. Cum autem Pompilio uideretur unam dimittere legionem, Catonis quoque filium, qui in eadem legione militabat, dimisit. Sed cum amore pugnandi in exercitu remansisset, Cato ad Pompilium scripsit ut, si pateretur in exercitu remanere, eum secundo obliget sacramento quia, priore amisso, iure cum hostibus pugnare non poterat. [ : VI, 7, 599c-600a, t2, 21]" .
13. "contra los" est agglutiné par deux fois ici.
14. Bernard de Clairvaux, probablement.
15. Il faut ici déterminer ce que dit la version A. Salamanque omet cosas, qui n'est pas présent dans le texte latin non plus (quae & quot sunt consideranda).
16. Ici, otras est écrit avec un eszett. Voir l'image.
17. Voir note précédente.
18. Idem.
19. Gribouillis:en:haut:de:la ::::::::::::::::::première:colonne,:qui:semble:être:de:la:même:main:que:la:main:principale,:de:la ::::::::::::::::::même:encre:en:tous:cas.:
20. La typologie est ici créée par le texte castillan: elle n'apparaît pas dans le texte latin, contrairement à d'autres chapitres. Le traducteur va ainsi organiser le discours latin, et pas simplement le traduire.
21. Noter et faire un sort ici à la traduction culturelle !
22. Le sens de cavallería est particulier ici: il s'agit d'un sens actif (activité de chevalier, art de la guerre).
Notes au témoin G
23. Ici on a clairement un saut du même au même (d'un imparfait du subjonctif à l'autre, la désinence peut permettre l'erreur). Peut-on envisager de retrouver le manuscrit source ?
24. G omet la citation latine "Omne regnun in seipsun divisum" . Est-ce le signe d'une incompréhension du latin de la part du copiste ?
25. Ici, l'encre semble avoir coulé comme si le manuscrit était penché:
26. Ici il y a un gros saut du même au même, qui fait qu'une partie du paragraphe et le début du paragraphe suivant manque dans G
27. Défense des droits. Quelle valeur à cette époque?
28. Rejoint ce que dit Carlos Heusch sur le changement de public de ce genre de textes ?
29. Ici, saut de ligne après la première syllabe. "zienda" apparaît sur la ligne suivante, juste avant le changement de folio, et probablement de cahier (à vérifier à la consultation). Qu'est-ce que cela dit de la composition du texte ?
Notes au témoin Q
30. Ici, on a l'impression que le [a] a été changé en [d], essayer de vérifier, et l'encoder le cas échéant.
31. De qui parle-t-on ici ? Des chevaliers ? Des seigneurs ? Du Roi ? Les personnages dont on parle sont, en tous cas, en position de pouvoir. Toute l'ambiguité d'un traité destiné au Roi et qui parle de chevalerie. Le Roi est-il un chevalier ? En tous cas, on n'est pas face à de la pure théorie militaire. Destination: des personnes dotées du pouvoir politique. On est ici plus face à des cavalleros qu'à des lidiadores !!! Il s'agit en fait d'un espèce de manuel de management de la guerre: comment être un bon cadre dirigeant au combat ?
32. D ou t ? La dernière lettre est abréviée ici.
33. Il serait intéressant de déterminer à quel texte se réfère cette voix discursive: intègre-t-elle la traduction ou pas ?
34. Ici le mot est abrévié: dois-je développer avec la cédille ou pas?
35. Il est probable qu'il y ait eu ici confusion avec "engaños" .
36. Saut du même au même ici. "por que se puedan acorrer mejor, segunt que vieren que les cunple. Lo vii°" est omis. La phrase antérieure est très peu compréhensible, mais la transcription est correcte.
37. Noter ce passage important !
38. Ref: voir Flori 1998:199-202.
39. Des choses à dire sur cet example !
40. Ici, la chevalerie est un pur métier !
41. Ici, chevalerie et noblesse sont inextricablement liés.
42. Voir la section de la thèse.
43. Pas de dessin ici !
44. Est-ce que c'est nouveau ? Original ? D'où vient cette interrogation ? Qui sont les païens auxquels le texte fait référence ? Les musulmans ?
Notes au témoin U
45. "derecha" ou "drecha" ? Voir Cardenas 1992, Alfonso X nunca escribió castellano drechoenpero dize el dere[fol: ]to en la cabsa sobredicha, quaestione viii°, que nunca se deve fazer a batalla syn grand neçessidat: e comiença aquél capítulo: "sy nulla viget necessitas" :
46. Saut du même au même.
47. Végèce, I,II,3.
48. Il y a une omission ici. Que peut-on en dire ?
49. Une variante fort intéressante ! Mais c'est un peu trop gros pour ne pas être une erreur: renversement totale de la hiérarchie entre le combattant et le Roi. Faire de l'histoire contrefactuelle ? Et si c'était voulu ?