AgroSup Dijon a organisé le 20 mars 2014 un séminaire intitulé “Agir sur les formations par le numérique : Une opportunité pour les établissements d’enseignement supérieur“.
Un programme bien cadencé, concocté par Denis Gentzbittel et lancé par une belle vidéo d’Anaîs Loizon et de Marie David où l’on a pu voir quelques étudiants d’AgroSup Dijon nous avouer leur facilité à décrocher dans les cours en présentiel (on se souviendra du “game over”) et nous faire part de leurs attentes vis-à-vis des enseignants, notamment pour ce qui concerne le numérique. Plutôt bien faite, cette vidéo ! Bon, c’est vrai, j’aurais vraiment du mal à dire le contraire, tellement elle servait bien ce que j’allais dire après !!!

Car Denis Gentzbittel, grand orchestrateur de cette journée, m’avait demandé de faire la conférence introductive : une occasion rêvée pour moi d’appréhender d’un peu plus près le fonctionnement de l’enseignement agricole, qu’il me fallait saisir !
J’ai donc accepté ; dans mon intervention, j’ai rendu compte des résultats de ma revue de littérature sur les technologies numériques dans l’enseignement supérieur et en ai profité pour examiner d’un peu plus près les derniers travaux de l’IPTS (Institute for Prospective Technological Studies) et du NMC (New Media Consortium).

La journée s’est poursuivie avec 6 ateliers répétés 3 fois pour que la centaine de participants puissent découvrir les initiatives prises dans tel ou tel établissement ou bien dans telle ou telle unité d’Eduter (cet institut qui exerce une mission de de recherche, de recherche-développement et d’appui au système éducatif dans l’enseignement agricole). Et elle s’est achevée avec l’intervention d’un grand témoin, Patrick Mayen, spécialiste de didactique professionnelle, chargé de clôturer la journée et mettre en perspective les idées formulées tout au long du séminaire.