Dans l’imaginaire collectif, un fleuve, c’est d’abord de l’eau courante. Non un maigre filet, mais bien une eau abondante et vivante. Qu’elle se jette dans une mer ou un océan importe peu. Pour filer la métaphore biologisante, elle irrigue la ville comme les artères animent le corps humain. Alors qu’advient-il lorsque l’eau manque ? La vie elle-même s’évanouit-elle ? Continuer la lecture
Les hauts et les bas du Rhône
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