Le pavage lyonnais a longtemps présenté une originalité. Il recourait aux galets roulés de quartzite ; la plupart provenait des alluvions fluviatiles villafranchiennes (fin du Pliocène), notamment celles situées sur les plateaux de Fourvière, de Sainte-Foy et de La Duchère (David, 1976 ; Mongereau, 2010). Nombre de géologues y ont vu un héritage du diluvium alpin. Marcheurs et cyclistes s’en accommodent difficilement. Continuer la lecture
Pourquoi les Lyonnaises ont-elles des pieds « larges et plats » ? La faute aux têtes de chat…
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